fbpx

Les placements pour le RPC lors de périodes difficiles

Avec plus de 500 milliards de dollars en actifs, le fonds soutenant le Régime de pensions du Canada est un acteur de premier plan dans le monde des placements. L’inflation, les changements climatiques et d’autres facteurs ont présenté des défis intéressants ces derniers temps. Geoffrey Rubin, directeur général principal et stratège en chef des placements, se joint à nous pour discuter de l’approche adoptée par Investissements RPC en ces temps incertains. Cet épisode est disponible en anglais seulement.

VOUS N’AVEZ PAS LE TEMPS D’ÉCOUTER CE BALADO? LISEZ LA TRANSCRIPTION.

Fievoli : Bienvenue à Voir au-delà du risque, le balado de l’Institut canadien des actuaires. Je m’appelle Chris Fievoli et je suis actuaire membre du personnel, communications et affaires publiques à l’ICA.

Le plus récent rapport actuariel du Régime de pensions du Canada (le RPC) a confirmé la solidité financière du Régime pour les 75 prochaines années. Le fonds d’investissement du RPC, désigné Investissements RPC, est un des éléments clés de cette stabilité.

Aujourd’hui, nous accueillons Geoffrey Rubin, directeur général principal et stratège en chef des placements pour Investissements RPC, qui va nous décrire certains des défis rattachés à la gestion de ce fonds.

Merci beaucoup de te joindre à nous aujourd’hui.

Rubin : Je te remercie de m’avoir invité.

Fievoli : La taille de ce fonds est impressionnante : l’actif net géré par Investissements RPC dépasse maintenant 500 milliards de dollars. Peux-tu nous faire part des défis que présente la gestion d’un portefeuille de cette envergure?

Rubin : Je pense qu’il est bon de décrire un peu la structure du Régime de pensions du Canada et de l’Office d’investissement du régime de pensions du Canada (OIRPC), l’entité où je travaille et qui investit l’excédent des cotisations sur les prestations à verser.

Le Régime de pensions du Canada en soi existe depuis environ 1965. Il s’agit d’un régime partiellement capitalisé – ce qu’il faut garder en tête quand nous devons réfléchir à la manière d’investir ce produit excédentaire. Ce n’est plus vrai depuis les cinq derniers exercices, où le RPC a été bonifié et s’assortit désormais de ce qu’on appelle le RPC supplémentaire (RPCS) – une expansion entièrement capitalisée.

Par conséquent, même s’il y a un seul Régime de pensions du Canada, ce régime est constitué de deux volets, le Régime de base, partiellement capitalisé, et le Régime supplémentaire, qui est une bonification entièrement capitalisée.

Nous investissons l’excédent des cotisations sur les prestations pour l’ensemble du RPC, mais nous le faisons en surveillant ces deux volets distincts. Sur nos actifs d’environ 550 milliards de dollars, que nous gérons à l’intérieur de l’OIRPC, une portion prépondérante correspond au RPC de base – le régime initial, partiellement capitalisé. Toutefois une part, petite mais grandissante, du portefeuille total est investie dans l’autre moitié, celle du RPC supplémentaire, qui est entièrement capitalisé, comme je l’ai déjà précisé.

Étant donné que les cibles de capitalisation sont différentes pour les deux volets, la cible d’investissement n’est pas non plus la même. Je dirais plus précisément que nous conservons pour le RPC de base une cible de risque plus élevée, et les rendements seront donc supérieurs au fil du temps.

Pour ce qui est du RPC supplémentaire, l’expansion entièrement capitalisée, nous avons établi une cible de risque plus faible, de sorte que les rendements prévus seront plus bas. Les défis que présente la gestion de notre régime sont donc exacerbés par le fait que nous avons cette distinction intéressante, c’est-à-dire le mandat d’investir pour le compte des deux volets du RPC.

Quant à notre taille et aux difficultés inhérentes à la gestion d’un fonds important, je dirais d’abord qu’il y a des occasions à saisir sur des marchés de capitaux qui offrent des rendements corrigés du risque fort attrayants, mais elles sont tout simplement trop petites pour que nous puissions y participer pleinement. Les investissements que nous choisissons doivent avoir des retombées significatives et, en quelque sorte, certaines occasions extrêmement intéressantes ne répondent pas à ces critères.

Ensuite, je crois que, dans certains marchés, si nous décidions d’investir de manière proportionnelle à notre taille, nous pourrions avoir un effet sur ces marchés ou influer sur les cours d’une manière qui nuirait aux rendements corrigés du risque que nous voulons obtenir.

Un autre point à considérer dans la gestion d’un gros fonds, c’est le besoin général de conserver une diversification à l’échelle mondiale et une exposition aux éléments et aux moteurs de prospérité et de croissance économiques partout dans le monde. C’est un défi que nous devons relever avec succès.

J’ajouterais toutefois que notre taille ne pose pas que des défis : elle crée également des occasions, et c’est important pour nous de réfléchir à la façon dont nous pouvons investir pour tirer parti de notre taille ou profiter des possibilités que peu d’investisseurs peuvent saisir – parce qu’ils sont trop petits ou qu’ils n’en ont pas les moyens – et qui peuvent se traduire par des rendements corrigés du risque énormes pour nous.

Alors, oui, il y a effectivement des défis. Ils sont liés en partie au choix des investissements et en partie à notre structure organisationnelle, car nous avons besoin, pour effectuer des investissements de cette ampleur, d’une organisation bien développée et d’une équipe d’envergure présente sur toute la planète. Mais nous croyons que ces défis peuvent être compensés par des occasions d’investissement à une hauteur et à une échelle qui sont hors de portée pour la plupart des autres protagonistes sur les marchés.

Fievoli : Tournons-nous maintenant vers le sujet de l’heure en ce moment : l’inflation. Comme nous le savons tous, elle se fait durement sentir un peu partout, particulièrement sur les régimes de prestations, et encore plus ceux qui renferment une part d’indexation.

Est-ce que l’OIRPC a été contraint de se repositionner à la suite de la poussée inflationniste récente? Si c’est le cas, quelles mesures avez-vous prises?

Rubin : L’inflation se répercute sur le rendement de nos portefeuilles d’investissements de même que sur la durabilité prévue du régime lui-même, pour laquelle nous investissons. Comme je l’ai mentionné tantôt, les cibles de capitalisation sont différentes pour les deux volets, le RPC de base et le RPC supplémentaire, ce qui veut dire qu’ils auront une exposition très différente à l’inflation.

En fait, le RPC de base s’est révélé tout à fait insensible au niveau d’inflation, en raison des prestations indexées aussi bien que de la hausse attendue des salaires et des cotisations au régime découlant de l’inflation générale. 

Le RPC supplémentaire est beaucoup plus exposé à l’inflation, et quand celle-ci augmente, elle a des effets négatifs sur la capitalisation du RPCS, comme tu l’évoques. Quand nous examinons notre portefeuille d’investissements, nous voulons tenir compte à la fois du rendement absolu et de la capacité du régime supplémentaire d’aider le RPC à satisfaire à ses obligations au fil du temps.

Du côté des rendements, une inflation en hausse et sans ancrage pose de réels problèmes pour presque tous les actifs, peu importe la catégorie. Il est très difficile, dans un contexte d’inflation élevée et imprévisible, assortie des primes de risque correspondantes, de conserver le niveau des rendements auxquels le marché s’était accoutumé depuis 10 ou 15 ans.

À un certain niveau, l’inflation est donc un problème, et un problème qui a des ramifications partout. C’est une tâche très ardue de constituer un portefeuille qui est parfaitement immunisé contre ce genre d’impacts. Il existe toute de même encore des occasions à saisir.

Par exemple, nous investissons énormément dans les actifs immobiliers, c’est-à-dire l’immobilier commercial, les infrastructures et la production d’énergie électrique de source durable, qui possèdent tous une certaine capacité de traverser les périodes d’inflation et de continuer à produire des revenus et des profits qui résistent en quelque sorte à la hausse de l’inflation.

Ce genre d’investissements et d’autres facteurs comme les obligations indexées sur l’inflation de même que les investissements dans les produits de base nous permettent de profiter d’un certain rendement malgré l’inflation en hausse et instable. La solution n’est que partielle, cependant.

Il s’agit certainement d’un contexte dans lequel, et j’inclus là-dedans la plupart, voire la totalité, des gros investisseurs institutionnels, nous allons faire face à d’énormes difficultés pour ce qui est d’obtenir des rendements corrigés du risque.

Fievoli : C’est vraiment fascinant tout ça. Passons maintenant à un autre sujet qui suscite l’intérêt de beaucoup d’actuaires : les changements climatiques.

Je suis curieux de savoir de quelle façon les changements climatiques ont influé sur les investissements choisis par l’OIRPC afin de respecter un équilibre entre la recherche des meilleurs rendements et le souhait d’investir dans des actifs plus propices à la protection du climat.

Comment faites-vous pour atteindre cet équilibre?

Rubin : C’est de toute évidence un élément important de nos stratégies d’investissement et de nos choix spécifiques, mais nous prenons soin d’intégrer l’exposition au risque lié aux changements climatiques dans le cadre de nos objectifs de rendements corrigés du risque, sans en faire un objectif incompatible avec la recherche de ces rendements.

Nous travaillons d’arrache-pied depuis une décennie pour ajouter tous les risques – les risques financiers autant que les risques liés au marché, au climat et à l’ESG – à notre examen des investissements que nous effectuons.

Nous voulons nous assurer de recevoir une contrepartie juste pour tous les risques que nous prenons, et il est très clair qu’il y a des investissements dans certaines entreprises ou dans certains secteurs où les risques associés à des changements climatiques profonds – et à l’incertitude qui en découle – seront plus grands.

Nous voulons cerner très précisément quels sont ces risques et nous assurer de choisir des investissements qui affichent une excellente performance et dégagent les rendements supérieurs que nous recherchons, tout en connaissant parfaitement bien les risques, y compris celui qui est lié aux changements climatiques, et en les prenant toujours en considération.

Je pense à deux exemples au sein de notre portefeuille qui ont nécessité, non pas un compromis en soi, mais bien une analyse approfondie de l’incidence du risque lié aux changements climatiques.

Le premier est notre portefeuille du secteur des énergies durables. Nous avons investi dans la production d’énergie de source renouvelable sur toute la planète par l’intermédiaire de notre portefeuille qui couvre le secteur de l’énergie solaire et éolienne – en mer et côtière. Il s’agit d’un investissement qui, selon nous, est censé connaître une bonne performance et offrir de solides rendements en raison des effets prévus des politiques économiques et réglementaires.

Nous croyons aussi que ce portefeuille est bien positionné pour afficher une vigueur même accrue à cause des risques liés aux changements climatiques auxquels sont exposés les marchés financiers et les économies partout dans le monde.

Le deuxième exemple que je donnerais, ce sont les obligations vertes que nous émettons et qui nous permettent de réunir des capitaux moyennant un taux supérieur au taux habituel, à la condition de veiller à ce que le produit soit affecté à des investissements dans des projets présentant le genre d’empreinte carbone requise pour cette catégorie d’actif.

Dans les deux cas, nous ne renonçons pas aux rendements corrigés du risque afin répondre aux impératifs créés par les changements climatiques. En fait, nous intégrons ces impératifs à la souscription et nous en tenons compte parce que nous croyons qu’ils vont favoriser une excellente performance de notre portefeuille.

Fievoli : Merveilleux! Restons dans la gestion du risque. Que se passe-t-il sur ce plan-là depuis quelques décennies?

Nous avons vécu la crise financière de 2008. Il y a eu avant les attentats du 11-septembre et leurs conséquences, l’éclatement de la bulle techno. Cette année, on voit la guerre en Europe, après deux années marquées par des chocs économiques et les bouleversements causés par la pandémie mondiale.

Sachant que les actuaires s’intéressent naturellement à la gestion du risque, je me demandais quels processus suit l’OIRPC pour tenter de prévoir et de peut-être atténuer les effets du prochain événement marquant, peu importe sa nature. Et d’ailleurs, dis-moi quel pourrait être ce prochain grand événement selon toi?

Rubin : Une chose est sûre : les événements qui se produisaient habituellement une fois par génération semblent gagner en fréquence, et nous devons vraiment prévoir quelles en sont les incidences sur les portefeuilles que nous constituons ou que nous gérons.

Nous avons un groupe de travail chargé d’analyser des scénarios, constitué de professionnels provenant de toutes les sphères de notre organisation qui se penchent exactement sur ces problèmes et qui évaluent la probabilité et la gravité de plusieurs événements susceptibles de se produire.

Je regarde en ce moment le rapport le plus récent de ce groupe de travail, et je vois que les membres ont fait le suivi de sept cas d’exposition élevée au risque, d’environ huit cas d’exposition moyenne et de quelques cas d’exposition faible dans le monde. Il s’agit d’une série d’événements assortis d’un risque géopolitique et économique que la plupart d’entre nous avons en tête aujourd’hui, je pense. Nous essayons, nous aussi, de prendre davantage conscience de ces risques et vulnérabilités puis de mieux les comprendre.

Ce travail fait partie de notre mandat et nous demande de rester vraiment au courant des situations qui peuvent mal tourner – nous voulons savoir où elles peuvent nuire à l’économie et nuire au travail des décideurs ainsi qu’aux relations géopolitiques – et nous cherchons aussi à déterminer comment elles affecteront la résilience de notre portefeuille.

Quand je pense à la façon dont nous nous positionnons pour connaître le succès malgré ces situations, le premier élément qui me vient à l’esprit, c’est la résilience.

Il ne s’agit pas nécessairement de prédire quels événements vont se concrétiser, mais bien de nous en servir pour comprendre la performance de notre portefeuille dans chaque cas, de manière à nous assurer que nous respectons une véritable diversification et que nous sommes effectivement parés à toute éventualité, qu’elle fasse partie de la liste que j’ai mentionnée tantôt ou pas.

Il est donc primordial pour nous de veiller à ce que notre portefeuille soit très résilient, car il s’agit d’un des fondements de notre préparation aux risques.

Le deuxième élément qui nous préoccupe, c’est de conserver suffisamment de liquidité. Nous devons nous assurer d’avoir la liquidité voulue pour respecter toutes nos obligations, à court et à long terme, en dépit de ces situations. Une bonne partie de nos efforts consistent à vérifier que cette liquidité est appropriée en toutes circonstances afin que nous puissions toujours satisfaire à ces obligations et continuer de fonctionner comme prévu.

Donc, une liquidité adéquate constituerait le deuxième pilier de notre approche en matière de gestion du risque.

Vient ensuite un troisième pilier : la gouvernance et la préparation organisationnelle à ces situations problématiques. Notre équipe de travail sur les crises financières réalise des exercices et des simulations, et elle est donc bien placée en pour réagir et être prête à intervenir face à n’importe quel imprévu.

Ce genre de gouvernance en matière de préparation implique jusqu’aux plus hauts dirigeants, car nous voulons être parfaitement outillés pour faire face à ces événements, pour y répondre et y réagir tout en assurant la pérennité de nos stratégies d’investissement.

Ce qui pourrait être en soi le plus dommageable pour une organisation comme la nôtre serait d’affronter une crise alors que nous sommes étant démunis ou mal préparés sur le plan de la gouvernance et, en conséquence, de perdre notre pouvoir et notre détermination en pleine crise.

J’estime que la plupart – si ce n’est la totalité – des institutions qui ont vécu des moments extrêmement difficiles sont celles qui ont perdu leur conviction au plus profond d’une crise et en viennent à ne plus appliquer leurs stratégies ou à y mettre fin. À mes yeux, il se produit là essentiellement un échec de la gouvernance.

Et cet échec est attribuable en grande partie à l’incapacité de mettre en place comme il se doit les processus et les procédures, la culture et l’état d’esprit, relativement à la forme et aux effets de ces situations difficiles, et à l’incapacité de bien préparer l’organisation à surmonter ces défis, de rester conscients de leur existence, d’instaurer les mécanismes permettant de répondre aux exigences et aux besoins qui en découlent, et ce, en appliquant toujours l’approche préétablie et en restant convaincus de son succès.

Voilà les trois principaux éléments de la gestion du risque pour nous.

Fievoli : Formidable! Une dernière question, pour conclure.

Y a-t-il un enseignement tiré de ton expérience à l’OIRPC que tu voudrais transmettre aux actuaires qui conseillent les promoteurs des régimes de retraite de plus petite taille pour ce qui est du choix de leurs investissements et de la gestion de leurs propres risques?

Rubin : J’ai appris qu’il est d’importance capitale, quelles que soient la taille de l’organisation ou l’approche adoptée, de définir très clairement vos buts et vos objectifs en tant qu’organisation et de comprendre parfaitement vos contraintes et ce que vous souhaitez accomplir.

Selon moi, avant de pouvoir établir des stratégies d’investissement pour respecter ses objectifs, une organisation doit savoir exactement si elle veut compenser un élément de passif ou gérer une cible de rendement particulière, ou encore gérer en visant des résultats supérieurs à ses pairs – c’est-à-dire comprendre clairement ce qu’elle veut réaliser.

Je crois qu’un point que nous avons souligné plus tôt est crucial, et c’est de mettre en place un engagement réel et une résilience solide au sein de votre cadre de gouvernance et, donc, de faire en sorte que la stratégie que vous avez choisie peut survivre aux différents cycles et au passage du temps.

Si nous passons maintenant de la perspective d’un régime de grande taille à un régime plus petit, je pense que les questions fondamentales liées à la cible de risque, soit la tolérance de base au risque que l’organisation décide de conserver et le choix d’une stratégie d’investissement – est-elle uniquement axée sur des titres canadiens ou bien d’envergure internationale? – de même que l’accès aux types de partenaires avec qui elle investira. Voilà les décisions les plus déterminantes.

Et même si nous ne les révisons pas nécessairement très souvent, ce sont ces décisions qui ont le plus gros impact, d’après moi, sur la performance de l’organisation.

Souvent, les éléments de la stratégie d’investissement qui sont immédiats, qui reviennent le plus fréquemment, sont exactement ceux qui ont la plus faible incidence sur la performance globale au fil du temps.

Alors, si j’avais à formuler une recommandation à une entité, peu importe sa taille, ce serait « connais-toi, toi-même » et détermine exactement quels sont les objectifs visés. À partir de là, chacune doit s’assurer de se donner les stratégies d’investissement et la gouvernance qui lui permettront de répondre aux grandes questions d’abord, puis de rester déterminée à traverser les cycles et de remonter la pente après les difficultés comme celles dont nous avons parlé. Tout ça pour obtenir les meilleurs résultats possibles sur de longs horizons temporels.

Fievoli : D’accord, voilà une foule d’informations intéressantes. Je te remercie d’avoir été des nôtres aujourd’hui.

Rubin : C’est un plaisir pour moi d’être ici.

Fievoli : Notre série de balados, qui existe depuis trois ans, compte maintenant plus de 150 épisodes. Nous vous invitons à vous y abonner. Vous pouvez le faire sur la plateforme que vous utilisez habituellement pour accéder à des balados.

Nous aimerions recevoir vos commentaires. Vous avez un sujet dont vous aimeriez entendre parler? Envoyez vos suggestions à balados@cia-ica.ca. Sachez que nous sommes toujours à la recherche de contenu pertinent à mettre sur le blogue Voir au-delà du risque. Donc si vous avez des idées à nous communiquer, écrivez-nous voiraudeladurisque@cia-ica.ca.

Nous avons récemment lancé un nouveau site portant sur tous les changements passionnants apportés au système de qualification de l’ICA. Pour en savoir plus, rendez-vous à https ://education.cia-ica.ca/fr.

Je m’appelle Chris Fievoli et je vous remercie d’avoir écouté cet épisode de la série Voir au-delà du risque. À bientôt!

Cette transcription a été révisée par souci de clarté.

Follow us

Contact Us

Canadian Institute of Actuaries
360 Albert Street, Suite 1740
Ottawa, Ontario K1R 7X7
SeeingBeyondRisk@cia-ica.ca

Subscribe to our emails